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Risultati da 1 a 6 di 6
  1. #1
    Fra Savonarola
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    Predefinito 3 maggio - S. Alessandro I, Papa e Martire

    Dal sito SANTI E BEATI:

    Sant' Alessandro I, Papa e Martire

    3 maggio

    m. 3 maggio 115/116

    (Papa dal 105 al 115).

    Nobile romano, ebbe al narra la tradizione al come maestri Plinio il Giovane e Plutarco. Fu eletto successore di Evaristo in giovanissima età, quando non aveva ancora compiuto trent'anni.

    Patronato: Barrafranca (EN)

    Emblema: Palma

    Martirologio tradizionale (3 maggio): A Roma, sulla via Nomentana, la passione dei santi Martiri Alessandro, Evenzio e Teodolo Preti. Tra essi Alessandro, sotto il Principe Adriano ed il Giudice Aureliano, dopo le catene, la prigionia, l’eculeo, le graffiature ed il fuoco, fu trafitto con punture spessissime per tutte le membra ed ucciso, Evenzio e Teodolo, dopo lunga prigionia, provati col fuoco, alla fine furono decollati.

    Nel Liber pontificalis è detto “natione Romanus, ex patre Alexandro, de regione caput Tauri”. Tale indicazione topografica allude alla zona vicina a S. Bibiana, all'estremità della V regione Augustea, dove L. Statilius Taurus, console nel 44 d.C., eresse i suoi horti e il suo forum e nel Medioevo fu detta Taurina la porta S. Lorenzo. Il suo pontificato va dall'anno 105 al 115. Quindi è indicato il suo martirio, avendo a compagni “Eventius presbiter et Theodolus diaconus”; sepolto sulla “via Numentana, ubi decollatus est, ab urbe Roma non longe, milliario VII, nonas mai”, cioè il 3 maggio.
    Il Martirologio geronimiano alla stessa data segna: “Romae via Nomentana, miliario VII, natale sanctorum Eventi, Alexandri, Theodoli”. Manca ogni indicazione di episcopi, che dà sempre ai papi, e non lo mette al primo posto; queste due circostanze fecero dubitare al Fiorentini dell'identità del papa e del martire.
    Nell'itinerario del VII sec. inserito da Guglielmo di Malmesbury nei Gesta Regum Anglorum, fuori della porta Nomentana è segnato: “In septimo miliario eiusdem viae sanctus papa Alexander, cum Eventio et Theodolo pausant”.
    Questa notizia dipende dalla passio, come pure dalla passio dipende il Liber pontificalis.
    La passio fa i due compagni di Alessandro ambo presbyteri. Tutti sarebbero stati sepolti da Severina, moglie del comes Aureliano che li aveva condannati, “in septimo milliario ab urbe Roma via Numentana in praedium suum, Eventium et Alexandrum in uno posuit monumento, Theodolum vero solum in loco altero sepelivit”. La passio non ha valore storico, ed è ritenuta dal Duchesne non anteriore al sec. VI; vi si parla anche dei martiri Ermete, Quirino tribuno e di sua figlia Balbina.
    Ma le indicazioni topografiche e l'unione dei tre nomi che ricorrono sia nel Liber pontificalis che nel Martirologio geronimiano, nella passio e nell'itinerario detto Malmesburiense sono risultate esatte quando nel 1855 si scoprì al VII miglio della via Nomentana un cimitero e un complesso basilicale con due tombe venerate. Sulla prima era stato eretto un altare con l'iscrizione: ...ET ALEXANDRO DELICATVS VOTO POSVIT DEDICANTE AEPISCOPO VRS(0)
    L'Ursus fu identificato dal Duchesne con il vescovo di Nomentum di tal nome ricordato in una lettera del papa Innocenzo I (401-417). L'iscrizione è, dunque, dell'inizio del sec. V e dimostra che Alexander è nominato per ultimo, senza alcuna dignità gerarchica, rafforzando i dubbi espressi dal Duchesne. Il cimitero e i monumenti in esso contenuti non permettono in alcun modo una datazione così remota, come l'età di Traiano, ma si tratta di un cimitero locale, iniziato non prima della seconda metà del sec. III.

    Autore: Enrico Josi


  2. #2
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    Da dom Prosper Guéranger, L’Année Liturgique - Le Temps Pascal, Paris-Poitiers, 1902, XIII ediz., t. II, p. 494-497

    LE III MAI.

    SAINT ALEXANDRE, PAPE ET MARTYR.


    Un saint Pape martyr vient en ce jour déposer sa couronne au pied de la Croix triomphante, par laquelle il a vaincu. C'est Alexandre, le cinquième successeur de Pierre. Honorons ce témoin vénérable de notre foi, appelé à recevoir aujourd'hui les hommages de l'Eglise militante, au sein de la gloire dont il jouit depuis tant de siècles dans la compagnie de notre divin Ressuscité. La Passion de ce Maître souverain fut toujours présente ici-bas à sa pensée, et l'Eglise a conservé le souvenir de l'addition qu'il fit de quatre mots au Canon sacré, pour exprimer que Jésus avait institué l'auguste mystère de l'Eucharistie la veille même du jour où il devait souffrir.

    Une autre institution chère à la piété catholique est due au même Pontife. C'est par lui que l'Eglise a été mise en possession de cette eau sainte que les démons redoutent, et qui sanctifie tous les objets qu'elle touche. Le fidèle renouvellera donc aujourd'hui sa foi envers ce puissant élément de bénédiction que l'hérésie et l'impiété ont si souvent blasphémé, et dont l'usage pieux sert à discerner les enfants de l'Eglise de ceux qui ne le sont pas. L'eau, instrument de notre régénération, le sel, symbole d'immortalité, s'unissent sous la bénédiction de l'Eglise pour former ce Sacramental envers lequel notre confiance ne saurait être trop grande. La vertu des Sacramentaux, comme celle des Sacrements, procède du sang de la Rédemption, dont les mérites sont appliqués à certains objets physiques par l'action du sacerdoce de la loi nouvelle. L'indifférence à l'endroit de ces moyens secondaires du salut serait aussi coupable qu'imprudente; et cependant, à cette époque d'affaiblissement de la foi, rien n'est plus commun que cette indifférence. Il est des catholiques pour qui l'eau bénite est comme si elle n'existait pas ; ils ne réfléchissent jamais sur l'usage continuel qu'en fait l'Eglise, et se privent, de gaieté de cœur, du secours que Dieu a daigné mettre à leur portée pour fortifier leur faiblesse et purifier leurs âmes. Daigne le saint pontife Alexandre ranimer leur foi, et rendre à ces chrétiens dégénérés l'estime des choses surnaturelles que la bonté de Dieu avait prodiguées à leur intention!

    L'Eglise a consacré ce court récita la mémoire du saint Pape.

    Alexandre, natif de Rome , gouverna l'Eglise sous l'empire d'Adrien, et convertit au Christ une grande partie de la noblesse romaine. Il ordonna que l'on offrirait seulement le pain et le vin dans le Sacrifice, et que l'on mêlerait de l'eau avec le vin, en mémoire du sang et de l'eau qui coulèrent du côté de Jésus-Christ. Il ajouta au Canon de la Messe ces paroles : Qui pridie quam pateretur. Il ordonna encore que l'on aurait toujours à l'Eglise de l'eau bénite, dans laquelle on aurait jeté du sel, et que l'on s'en servirait pourchasser les démons qui infesteraient les maisons. Il siégea dix ans, cinq mois et vingt jours, et fut illustre par sa vie sainte et ses ordonnances salutaires. Il fut couronné du martyre avec les prêtres Eventius et Théodule, et on l'ensevelit sur la voie Nomentane , à trois milles de Rome, au lieu même où il avait eu la tête tranchée. Il créa en divers temps, au mois de décembre, six prêtres, deux diacres et cinq évêques pour divers lieux. Les corps de ces saints furent depuis transportés à Rome dans l'Eglise de Sainte-Sabine. En ce même jour arriva la mort du bienheureux Juvénal, évêque de Narni, qui après avoir, par sa sainteté et sa doctrine, enfanté beaucoup de fidèles à Jésus-Christ dans cette ville, illustré par l'éclat des miracles, mourut paisiblement, et fut enseveli avec honneur au même lieu.

    Recevez, ô saint Pontife, en ce jour consacré au culte de la Croix de votre divin Chef, les hommages du peuple chrétien. C'est par la voie de la Croix que vous êtes monté au ciel en ce jour ; il est juste que votre louange se mêle à celles que nous offrons à l'instrument sacré de notre délivrance. Rendez-nous propice celui qui a donné son sang sur cet arbre de vie ; qu'il daigne accepter nos chants de triomphe pour sa résurrection, nos hymnes en l’honneur du bois libérateur. Faites croître en nous la foi, ô saint Pontife, afin que nous arrivions à comprendre l'économie de la Rédemption, dans laquelle le Fils de Dieu a voulu se servir pour notre salut des éléments mêmes que l'ennemi avait souillés et dirigés à notre perte. Chassez loin de nous ce mesquin rationalisme qui ose choisir dans l'Eglise ce qui convient à sa médiocre compréhension, et croit pouvoir dédaigner le reste. Intercédez pour la sainte Eglise Romaine, ô saint Pontife ! Elle vous invoque aujourd'hui ; montrez-lui qu'elle est restée chère à votre cœur.

  4. #4
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    Pope St. Alexander I

    St. Irenaeus of Lyons, writing in the latter quarter of the second century, reckons him as the fifth pope in succession from the Apostles, though he says nothing of his martyrdom.

    His pontificate is variously dated by critics, e.g. 106-115 (Duchesne) or 109-116 (Lightfoot). In Christian antiquity he was credited with a pontificate of about ten years (Eusebius, Hist. Eccl. IV, i,) and there is no reason to doubt that he was on the "catalogue of bishops" drawn up at Rome by Hegesippus (Eusebius, IV, xxii, 3) before the death of Pope Eleutherius (c. 189). According to a tradition extant in the Roman Church at the end of the fifth century, and recorded in the Liber Pontificalis he suffered a martyr's death by decapitation on the Via Nomentana in Rome, 3 May.

    The same tradition declares him to have been a Roman by birth and to have ruled the Church in the reign of Trajan (98-117). It likewise attributes to him, but scarcely with accuracy, the insertion in the canon of the Qui Pridie, or words commemorative of the institution of the Eucharist, such being certainly primitive and original in the Mass. He is also said to have introduced the use of blessing water mixed with salt for the purification of Christian homes from evil influences (constituit aquam sparsionis cum sale benedici in habitaculis hominum). Duchesne (Lib. Pont., I, 127) calls attention to the persistence of this early Roman custom by way of a blessing in the Gelasian Sacramentary that recalls very forcibly the actual Asperges prayer at the beginning of Mass.

    In 1855, a semi-subterranean cemetery of the holy martyrs Sts. Alexander, Eventulus, and Theodulus was discovered near Rome, at the spot where the above mentioned tradition declares the Pope to have been martyred. According to some archaeologists, this Alexander is identical with the Pope, and this ancient and important tomb marks the actual site of the Pope's martyrdom. Duchesne, however (op. cit., I, xci-ii) denies the identity of the martyr and the pope, while admitting that the confusion of both personages is of ancient date, probably anterior to the beginning of the sixth century when the Liber Pontificalis was first compiled [Dufourcq, Gesta Martyrum Romains (Paris, 1900), 210-211].

    The difficulties raised in recent times by Richard Lipsius (Chronologie der römischen Bischofe, Kiel, 1869) and Adolph Harnack (Die Zeit des Ignatius u. die Chronologie der antiochenischen Bischofe, 1878) concerning the earliest successors of St. Peter are ably discussed and answered by F.S. (Cardinal Francesco Segna) in his "De successione priorum Romanorum Pontificum" (Rome 1897); with moderation and learning by Bishop Lightfoot, in his "Apostolic Fathers: St. Clement" (London, 1890) I, 201-345- especially by Duchesne in the introduction to his edition of the "Liber Pontificalis" (Paris, 1886) I, i-xlviii and lxviii-lxxiii. The letters ascribed to Alexander I by Pseudo-Isidore may be seen in P.G., V, 1057 sq., and in Hinschius, "Decretales Pseudo-Isidorianae" (Leipzig, 1863) 94-105. His remains are said to have been transferred to Freising in Bavaria in 834 (Dummler, Poetae Latini Aevi Carolini, Berlin, 1884, II, 120). His so-called "Acts" are not genuine, and were compiled at a much later date (Tillemont, Mem. II, 590 sqq; Dufourcq, op. cit., 210-211).

    Fonte: The Catholic Encyclopedia, vol. I, 1907, New York

  5. #5
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    Lightbulb Re: 3 maggio - S. Alessandro I, Papa e Martire

    3 MAGGIO 2018: INVENZIONE DELLA SANTA CROCE e Sant’Alessandro, Papa e Martire; terzo giorno del Mese di Maggio Mariano...



    «3 MAGGIO INVENZIONE DELLA SANTA CROCE.»
    Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico - 3 maggio. Invenzione della Santa Croce
    http://www.unavoce-ve.it/pg-3mag.htm



    "Maggio mese di Maria: 3° Giorno - Il tempo per salvarmi."
    Maggio mese di Maria: 3° Giorno - Il tempo per salvarmi
    http://www.stellamatutina.eu/maggio-...aria-3-giorno/




    Santa Croce e sant'Alessandro - Sodalitium
    http://www.sodalitium.biz/santa-croce/
    «3 maggio, “Invenzione” (ritrovamento) della Santa Croce e sant’Alessandro, Papa e Martire.

    “Questa data ricorda il ricupero della Santa Croce al tempo dell’imperatore Eraclito e la consegna che verso il 629 egli ne fece al patrirca Zaccaria di Gesusalemme, donde alcuni anni innanzi i Persiani l’avevano rapita per trasportarla presso di loro” (card. Schuster).
    “A Roma, sulla via Nomentàna, la passione dei santi Martiri Alessàndro primo Papa, Evénzio e Teódolo Preti. Tra essi Alessàndro, sotto il Principe Adriàno ed il Giudice Aureliàno, dopo le catene, la prigionia, l’eculeo, le graffiature ed il fuoco, fu trafitto con punture spessissime per tutte le membra ed ucciso, Evénzio e Teódolo, dopo lunga prigionia, provati col fuoco, alla fine furono decollati”.»
    http://www.sodalitium.biz/wp-content..._o-300x203.jpg







    https://www.SaintAmedee.ch
    https://www.facebook.com/SaintAmedee/?fref=nf

    «Intransigeants sur la doctrine ; charitables dans l'évangélisation [Non Una Cum].»
    3 mai : Invention de la Sainte Croix (en 326) :: Ligue Saint Amédée
    “3 mai : Invention de la Sainte Croix (en 326).”
    http://liguesaintamedee.ch/applicati...inte_croix.jpg









    www.sursumcorda.cloud
    https://www.facebook.com/CdpSursumCorda/?fref=nf
    «3 maggio. Sant'Alessandro Papa e Martire pregate per noi e per la Santa Romana Chiesa.»

    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...8d&oe=5B8BA7BD









    https://www.facebook.com/pietroferrari1973/
    "La Chiesa celebre oggi l'invenzione della Santa Croce. L'imperatore Costantino aveva visto una croce nel cielo sulla quale era scritto queste parole: Per questo segno vincerai; sconfisse difatti, interamente il tiranno Massenzio. Santa Elena, sua madre, in riconoscenza di questo favore, fece fare a Gerusalemme delle ricerche per trovare la vera croce. Ci si trovarono tre croci, ma un miracolo fece conoscere con certezza quella che aveva portato il prezzo del nostro riscatto. Questa Santa gli fece costruire un tempio magnifico. La croce fu ritrovata nell’anno 326. Da allora, la croce, di strumento di supplizio e di vergogna, diventò un segno di vittoria e di gloria."





    “Pietro Ferrari ha condiviso il post di Christus vincit.”
    https://www.facebook.com/catholictradition2016/
    “INDULGENZE PER IL MESE DI MAGGIO

    Con rescritto della S. C. delle Indulgenze 18 giugno 1822 a tutti i fedeli che in pubblico od in privato onoreranno con particolari ossequi, orazioni ed atti divoti la SS. Vergine in tutto il mese di Maggio, Pio VII concesse 300 giorni d'Indulgenza, ogni giorno, e la Plenaria una volta in detto mese, nel giorno in cui, ricevuti i SS. Sacramenti, pregheranno secondo la mente del Sommo Pontefice. Tale Indulgenza per concessione di Pio IX, 8 agosto 1859, può lucrarsi anche nel 1° di giugno.”





    “GIOVEDÌ DELLA QUARTA SETTIMANA DOPO L'OTTAVA DI PASQUA, 3 MAGGIO 2018.
    Sancti et Sanctae Dei, orate pro nobis.”

    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...6c&oe=5B57CC88












    Radio Spada | Radio Spada ? Tagliente ma puntuale
    http://www.radiospada.org
    Edizioni Radio Spada - Home
    http://www.edizioniradiospada.com
    https://www.facebook.com/radiospadasocial/?fref=nf
    “3 MAGGIO 2018: INVENZIONE DELLA SANTA CROCE.”

    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...7b&oe=5B58A79B





    «3 maggio 2018: SS. Alessandro I, Papa, Evezio e Teodulo, martiri, e Giovenale, vescovo.
    Pochissime ed incerte sono le notizie su Giovenale, mentre sicure sono quelle che riguardano il suo culto.
    Il cod. Bernense del Martirologio Geronimiano lo ricorda il 3 maggio unito ai tre martiri della via Nomentana, Evenzio, Alessandro e Teodulo. S. Gregorio Magno nei Dialogi (IV, 12) e nelle Homiliae in Evangelium ricorda un vescovo di Narni, di nome Giovenale, qualificandolo martire. Ma il Lanzoni osserva che questo pontefice dà il titolo di martire anche a vescovi che non morirono per la fede. Lo stesso Gregorio ricorda il sepolcro di Giovenale esistente sempre a Narni. I Martirologi di Floro e di Adone lo menzionano con questa indicazione: "Natale sancti Juvenalis episcopi et confessoris". Nel Sacramentario Gelasiano al 3 maggio vi è una preghiera in onore del santo.
    Di Giovenale esiste inoltre una Vita scritta dopo il sec. VII di scarso valore storico, secondo cui, egli era di origine africana e, ordinato da papa Damaso, fu primo vescovo di Narni. Sempre secondo questa Vita, fu sepolto alla Porta Superiore della città sulla via Flaminia, il 7 agosto, pur celebrandosene come si è dettó la festa al 3 maggio. L'agiografo non gli dà il titolo di martire, ma quello di confessore.
    Il sepolcro di Giovenale, su cui fu costruito un oratorio attribuito al suo successore Massimo, fu molto onorato nell'antichità e si conserva tuttora nella cattedrale di Narni. L'iscrizione non è antica, forse è contemporanea alla Vita.
    L'autore della Vita di papa Vigilio (537-555) nel Liber Pontificalis ci dà notizia di un monastero che Belisario fondò presso Orte dedicandolo a Giovenale.
    Nel secolo IX, il corpo di Giovenale fu trafugato insieme con quello dei santi Cassio e Fausta e trasportato a Lucca, ma in seguito fu restituito a Narni.
    Fossano, diocesi appartenente alla provincia d. Cuneo, venera s. Giovenale come suo protettore, pretendendo di conservarne le reliquie che, peraltro, potrebbero essere quelle di un altro santo dello stesso nome. Autore: Filippo Caraffa.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...93&oe=5B8B1553





    “[VITA EST MILITIA] Principe Raimondo Montecuccoli
    https://www.radiospada.org/2018/05/v...-montecuccoli/
    Nota di Radio Spada; continua oggi, nella festa dell’Invenzione della Santa Croce, questa rubrica radiospadista che durerà sino al compimento dell’Ottava di Pentecoste, dedicata all’esercizio del cattolicesimo militare e ai grandi condottieri cattolici.”
    https://i2.wp.com/www.radiospada.org...24%2C680&ssl=1






    “[PER I DEVOTI] Ottava della Madonna del Buon Consiglio.”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...68&oe=5B97F123





    “Regina angelorum, ora pro nobis.”
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...1b&oe=5B900061









    Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico - 3 maggio. Invenzione della Santa Croce
    http://www.unavoce-ve.it/pg-3mag.htm

    "Il trionfo della Croce.
    Era conveniente che il nostro Re divino si mostrasse ai nostri sguardi appoggiato allo scettro della sua potenza, affinché nulla mancasse alla maestà del suo impero. Questo scettro è la Croce, ed apparteneva al Tempo pasquale di presentargliene l'omaggio. Una volta la Croce veniva presentata a noi quale oggetto di umiliazione per l'Emmanuele, come il letto di dolore sul quale spirò; ma poi egli non vinse la morte? e cosa è divenuta questa Croce, se non il trofeo della sua vittoria? Che essa, dunque, venga mostrata e si pieghi ogni ginocchio davanti all'augusto legno, per mezzo del quale Gesù conquistò l'onore che noi oggi gli rendiamo. Il giorno di Natale cantavamo con Isaia: "Ci è nato un pargolo e ci fu largito un figlio: ha sopra i suoi omeri il principato" [1]. Poi l'abbiamo visto che portava sulle spalle questa Croce, come Isacco portò la legna per il suo sacrificio; ma oggi, per lui, non è più un peso. Essa brilla di uno splendore che rapisce lo sguardo degli Angeli; e dopo che sarà stata adorata dagli uomini finché durerà questo mondo, apparirà d'un tratto sulle nubi del cielo per assistere, presso il giudice dei vivi e dei morti, alla sentenza favorevole di coloro che l'avranno amata, alla condanna di quelli che l'avranno resa inutile per essi, a causa del loro stesso disprezzo e del loro oblio.
    Durante i quaranta giorni che passò ancora sulla terra, Gesù non giudicò conveniente di glorificare l'istrumento della sua vittoria. La Croce non dovrà apparire che nel giorno in cui, pure essendo rimasta invisibile, avrà conquistato il mondo a colui del quale ripete le meraviglie. Egli riposò tre giorni nella tomba: quella rimarrà seppellita durante tre secoli nella polvere. Ma risusciterà anch'essa; ed è questa ammirabile Risurrezione che oggi celebra la Chiesa. Una volta compiutosi il tempo, Gesù ha voluto accrescere le gioie pasquali, rivelando questo monumento del suo amore per noi. Lo lascerà tra le nostre mani, per nostra consolazione, fino all'ultimo giorno; non è dunque giusto che noi gliene rendiamo omaggio?
    La Croce sepolta e perduta.
    L'orgoglio di Satana non aveva mai subito una disfatta così pungente quanto quella che piombò su lui quando vide lo stesso legno, che era stato l'istrumento della nostra perdizione, divenire quello della nostra salvezza. La sua rabbia impotente si rivolse contro quell'albero salvatore che gli ricordava così crudelmente e la potenza irresistibile del suo vincitore, e la dignità dell'uomo riscattato ad un tale prezzo. Egli avrebbe voluto annientare quella Croce che paventava; ma, sentendo la sua impotenza a realizzare un simile colpevole proposito, tentò almeno di profanare e di nascondere un oggetto per lui così odioso. Spinse quindi gli Ebrei a nascondere vergognosamente quel sacro legno, venerato dal mondo intero. Ai piedi del Calvario, non lontano dal Sepolcro, si apriva una voragine profonda. Fu là dentro che gli uomini della Sinagoga fecero precipitare la Croce del Salvatore, insieme con quelle dei due ladroni.
    I chiodi, la corona di spine, l'iscrizione, staccata dal legno, andarono a raggiungerla in quel baratro che i nemici di Gesù fecero riempire di terra e di detriti. Ed il Sinedrio credette che fosse così scomparso completamente il ricordo di quel Nazareno che si lasciò crocifiggere senza discendere dalla Croce.
    Quarant'anni dopo, Gerusalemme soccombeva sotto il peso della vendetta divina. Ben presto i luoghi della nostra redenzione furono macchiati dalla superstizione pagana; un piccolo tempio a Venere sul Calvario, un altro a Giove sopra il Santo Sepolcro: tali furono le indicazioni per mezzo delle quali, senza volerlo, la derisione pagana conservò il ricordo dei fatti meravigliosi che si erano compiuti su quel sacro suolo. Appena avvenuta la pace di Costantino, i cristiani non ebbero che da rovesciare quei vergognosi monumenti: la terra bagnata dal sangue del Redentore riapparve ai loro occhi, e la gloriosa tomba venne riaperta alla devozione. Ma la Croce non si rivelò ancora, e continuò a riposare nelle viscere della terra.
    Il ritrovamento della Croce.
    La Chiesa non rientrò in possesso dell'istrumento della salvezza degli uomini, che qualche anno dopo il 337, data della morte dell'imperatore Costantino, generoso restauratore degli edifici del Calvario e del Santo Sepolcro [2]. L'Oriente e l'Occidente trasalirono alla notizia di questa scoperta, che, condotta dal cielo, veniva a mettere l'ultimo suggello al trionfo del cristianesimo. Cristo confermava la sua vittoria sul mondo pagano, innalzando così il suo trofeo, non più come figura ma nella realtà: era il legno miracoloso, una volta di scandalo agli Ebrei, follia agli occhi dei pagani, ma di fronte al quale, d'ora in avanti, ogni cristiano avrebbe piegato il ginocchio.
    Nel IV secolo il sacro albero fu venerato in quella basilica che riunì nel suo vasto recinto il glorioso Sepolcro e la collina della crocifissione. Un altro santuario fu innalzato nel luogo ove riposò la Croce durante tre secoli; una scala formata da numerosi gradini, conduce i pellegrini sino al fondo di questo misterioso asilo. Allora cominciò un succedersi di innumerevoli viaggiatori, venuti dalle quattro parti del mondo, per onorare i luoghi nei quali si attuò la redenzione dell'uomo, e per rendere omaggio a quel legno di liberazione. Ma i disegni misericordiosi del cielo non permisero che quel prezioso pegno di amore del Figlio di Dio verso la nostra misera umanità fosse riservato ad un solo santuario, per quanto sacro esso fosse. Una parte considerevole di esso fu destinato a Roma: riposerà nella basilica innalzata nei giardini di Sessorio, e il popolo romano chiamerà, d'ora in poi questo santuario col nome di basilica di Santa Croce in Gerusalemme.
    Le reliquie.
    Ma nel corso del tempo, la santa Croce onorò con la sua presenza molti altri luoghi della terra. Già nel IV secolo San Cirillo di Gerusalemme attestava che i pellegrini che ottenevano per loro qualche piccolo frammento, avevano esteso a tutto il mondo questo divino beneficio [3]. Nel VI secolo santa Redegonda sollecitò ed ottenne dall'imperatore Giustino II il frammento di proporzioni considerevoli che possiede il tesoro imperiale di Costantinopoli. La Gallia non poteva entrare in maniera più nobile a pertecipare al privilegio di avere una reliquia dell'istrumento della nostra salvezza, che per mezzo delle mani della sua virtuosa regina; e Venanzio Fortunato compose, per l'arrivo di detta augusta reliquia, quell'inno ammirabile che la Chiesa canterà sino alla fine dei secoli, ogni qual volta vorrà esaltare gli splendori della santa Croce.
    Gerusalemme, dopo l'alternativa della perdita e del ritrovamento, finì di perdere per sempre quell'oggetto divino che formava la sua gloria principale. Costantinopoli ne fu ancora l'erede; e questa città divenne la sorgente di ripetute prodigalità, che specialmente all'epoca delle crociate, servirono ad arricchire la Chiesa d'Occidente. Si fondò una specie di nuovi centri di devozione verso la Santa Croce, nei luoghi dove si conservavano gli insigni frammenti; da ogni dove si desiderava una particella del legno salutare. Il ferro ne divide le parti più considerevoli, ed a poco a poco le nostre regioni se ne trovano riempite. La vera Croce è ormai da per tutto, e non v'è cristiano che, nella sua vita, non abbia avuto possibilità di venerarne qualche frammento. Ma chi potrebbe contare gli atti d'amore e di riconoscenza che la vista di un oggetto così commovente genera nei cuori? e chi non riconoscerebbe in questa successiva profusione uno stratagemma della bontà divina per ravvivare in noi il sentimento della redenzione sul quale riposano le nostre speranze eterne?
    Che sia dunque amato questo giorno in cui la Chiesa unisce il ritorno trionfale della santa Croce alle gioie della Risurrezione di colui che conquistò, con quel mezzo, il trono su cui noi lo vedremo presto ascendere.
    Offriamo atti di riconoscenza per l'insigne beneficio che, con l'aiuto dei prodigi, restituì agli uomini un tesoro, il cui possesso sarebbe mancato al patrimonio della Santa Chiesa. Aspettando il giorno in cui il Figlio dell'uomo dovrà innalzarla sopra le nubi del cielo, la sua Sposa la conserva, perchè lui stesso gliel'ha affidata, quale pegno di questo secondo avvento. In quel giorno egli ne raccoglierà, con la sua potenza, i frammenti sparsi sulla terra, e l'albero della vita si mostrerà in tutta la sua bellezza allo sguardo degli eletti e sotto la sua ombra l'inviterà al riposo eterno [4].
    Lode alla Croce.
    "Cristo crocifisso è potenza e sapienza di Dio" (I Cor. 1, 23). È la celebre parola del tuo Apostolo, o Gesù, e noi oggi ne costatiamo la verità. La Sinagoga volle annientare la tua gloria inchiodandoti su di un patibolo e si dilettava nel pensiero che è scritto nella legge di Mosè: "Un appeso è un oggetto di maledizione divina" (Deut. 21, 23). Ed ecco che questo patibolo, questo legno infame è divenuto il tuo più insigne trofeo. Negli splendori della tua Risurrezione, la Croce, ben lungi dal gettare un'ombra sulla luminosità della tua gloria, fa risaltare di nuovo splendore la magnificenza del tuo trionfo. Tu fosti inchiodato ad un legno, hai preso su di te la maledizione; crocifisso tra due scellerati, sei passato per un vile impostore, ed i tuoi nemici ti hanno insultato nella tua agonia su quel letto di dolore. Se non fossi stato che un uomo, non sarebbe rimasto di te che un ricordo disonorato; la Croce avrebbe divorato per sempre la tua gloria passata, o Figlio di Davide! Ma tu sei il Figlio di Dio, ed è la Croce che ce ne dà la prova. Tutto il mondo si prostra di fronte ad essa e l'adora; è lei che te l'ha conquistato, e gli omaggi che riceve vendicano abbondantemente la tua gloria dell'eclissi passeggera che il tuo amore per noi le impose un giorno.
    Non si adora un patibolo; o, se si adora, è il patibolo di un Dio. Benedetto sia colui che è stato sospeso a quel legno! In cambio degli omaggi che ti rendiamo, o divin Crocifisso, mantieni in nostro favore la promessa che ci facesti: "Ed io quando sarò levato in alto da terra, tutti attirerò a me" (Gv. 12, 32).
    Le reliquie.
    Per attirarci con maggiore efficacia, deponi oggi tra le nostre mani il legno stesso, dall'alto del quale ci tendesti le braccia. Questo monumento della tua vittoria, sul quale ti reggerai nell'ultimo giorno, degnati di affidarcelo sino alla fine dei secoli, affinché noi attingiamo in esso un salutare timore della divina giustizia che ti ha inchiodato a quel legno vendicatore dei nostri delitti, e un amore sempre più tenero verso di te, nostra vittima, che non hai indietreggiato di fronte alla maledizione, affinché noi fossimo benedetti. Tutta la terra oggi ti ringrazia per il dono inestimabile che le hai concesso. La tua Croce, divisa in innumerevoli frammenti, è presente in moltissimi luoghi. Ora in tutto il mondo cristiano non vi è una regione che essa non renda sacra e non protegga.
    La Croce ed il Sepolcro.
    Il Sepolcro ci grida: Egli "è risuscitato, non è più qui"; la Croce ci dice: "Non l'ho trattenuto che per un momento, e poi si è slanciato nella sua gloria". O Croce! O Sepolcro! quanto breve è stata la sua umiliazione; mentre ci è assicurato il regno da Lui conquistato per tuo mezzo! Noi adoriamo in te le vestigia del suo passaggio, e tu rimani sacra per sempre, perché si è servito di te per la nostra salvezza. Gloria dunque sia a te, o Croce, oggetto del nostro amore e della nostra ammirazione in questo giorno! Continua a proteggere il mondo che ti possiede; siigli scudo per difenderlo contro il nemico, soccorso sempre presente che conserva il ricordo del sacrificio unito a quello del trionfo; poiché è per mezzo tuo, o Croce, che Cristo ha vinto, regna e impera.
    CHRISTUS VINCIT, CHRISTUS REGNAT, CHRISTUS IMPERAT.
    [1] Introito della Messa del giorno.
    [2] Questi santuari erano stati consacrati il 13 settembre 335.
    [3] Catechesi, IV, X, XIII.
    [4] Ogni anno, il 14 settembre, aveva luogo a Gerusalemme la cerimonia dell'Esaltazione, od ostensione, della Croce. Quest'uso passò poi a Costantinopoli e più tardi a Roma (cfr. Anno Liturgico 14 settembre). Nella Gallia e nella Spagna si festeggiava la Santa Croce il 3 maggio, data che fu in seguito adottata dalla Liturgia romana, ciò che spiega perché abbiamo due feste della Croce. Noi non conosciamo infatti il giorno esatto dell'Invenzione, cfr. Vincent et Abel, Jérusalem Nouvelle, t. II, Parigi 1914, p. 201 ss.).
    da: P. GUÉRANGER, L'anno liturgico. - II. Tempo Pasquale e dopo la Pentecoste, trad. it. L. ROBERTI, P. GRAZIANI e P. SUFFIA, Alba, Edizioni Paoline, 1959, pp. 599-604.”




    CHRISTUS VINCIT, CHRISTUS REGNAT, CHRISTUS IMPERAT!!!
    AVE MARIA!!!
    Luca, Sursum Corda!
    ADDIO GIUSEPPE, amico mio, sono LUCA e nel mio CUORE sarai sempre PRESENTE!
    «Réquiem aetérnam dona ei, Dómine, et lux perpétua lúceat ei. Requiéscat in pace. Amen.»

    SURSUM CORDA - HABEMUS AD DOMINUM!!! A.M.D.G.!!!

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    Lightbulb Re: 3 maggio - S. Alessandro I, Papa e Martire

    3 MAGGIO 2019: PRIMO VENERDÌ DEL MESE DEDICATO ALLA DEVOZIONE AL SACRO CUORE DI NOSTRO SIGNORE GESÙ CRISTO; INVENZIONE DELLA SANTA CROCE DI NOSTRO SIGNORE GESÙ CRISTO…



    «3 MAGGIO INVENZIONE DELLA SANTA CROCE»
    «Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico - 3 maggio. Invenzione della Santa Croce»
    «Invenzione della Santa Croce, 3 maggio»
    Dom Prosper Guéranger, L'Anno Liturgico - 3 maggio. Invenzione della Santa Croce
    http://www.unavoce-ve.it/pg-3mag.htm

    «Santi Alessandro, Papa, Evezio e Teodulo, martiri, e Giovenale, vescovo, lo stesso giorno.»





    "Maggio mese di Maria: 3° Giorno - Il tempo per salvarmi."
    Maggio mese di Maria: 3° Giorno ? Stellamatutina.eu ? Sito di cultura cattolica in piena e totale obbedienza al Magistero Petrino.
    http://www.stellamatutina.eu/maggio-...aria-3-giorno/




    “Il sacro Cuore di Gesù.”
    https://forum.termometropolitico.it/...di-gesu-7.html

    “3 maggio - S. Alessandro I, Papa e Martire.”
    https://forum.termometropolitico.it/...e-martire.html

    “3 maggio - Invenzione della Santa Croce.”
    https://forum.termometropolitico.it/...nta-croce.html






    Invenzione della Santa Croce - Sodalitium
    http://www.sodalitium.biz/invenzione-della-santa-croce/
    «3 maggio, Invenzione della Santa Croce.
    “A Gerusalémme l’invenzione della sacrosanta Croce del Signore, all’epoca dell’Imperatore Costantino”.

    “Questa data ricorda il ricupero della Santa Croce al tempo dell’imperatore Eraclio, e la consegna che verso il 629 egli ne fece al patriarca Zaccaria di Gerusalemme, donde alcuni anni innanzi i Persiani l’avevano rapita per trasportarla preso di loro ” (card. Schuster).
    Ti adoro, o Croce Santa, che fosti ornata del Corpo Sacratissimo del mio Signore, coperta e tinta del suo Preziosissimo Sangue. Ti adoro, mio Dio, posto in croce per me. Ti adoro, o Croce Santa, per amore di Colui che èil mio Signore. Così sia.»
    http://www.sodalitium.biz/wp-content...-1-300x203.jpg





    "Santa Croce e sant'Alessandro - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/santa-croce/
    http://www.sodalitium.biz/santa-croce/
    «3 maggio, “Invenzione” (ritrovamento) della Santa Croce e sant’Alessandro, Papa e Martire.

    “Questa data ricorda il ricupero della Santa Croce al tempo dell’imperatore Eraclito e la consegna che verso il 629 egli ne fece al patrirca Zaccaria di Gesusalemme, donde alcuni anni innanzi i Persiani l’avevano rapita per trasportarla presso di loro” (card. Schuster).
    “A Roma, sulla via Nomentàna, la passione dei santi Martiri Alessàndro primo Papa, Evénzio e Teódolo Preti. Tra essi Alessàndro, sotto il Principe Adriàno ed il Giudice Aureliàno, dopo le catene, la prigionia, l’eculeo, le graffiature ed il fuoco, fu trafitto con punture spessissime per tutte le membra ed ucciso, Evénzio e Teódolo, dopo lunga prigionia, provati col fuoco, alla fine furono decollati”.»
    http://www.sodalitium.biz/wp-content..._o-300x203.jpg




    SANTE MESSE "NON UNA CUM" CELEBRATE DAI SACERDOTI DELL' I.M.B.C. ("ISTITUTO MATER BONI CONSILII") E DA DON FLORIANO IN TUTTA ITALIA:


    "Sante Messe - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/

    "Torino - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/torino/

    "Modena - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/modena/

    "Rimini - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/rimini/

    "Pescara - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/pescara/

    "Potenza - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/potenza/

    "Roma - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/sante-messe/roma/

    "S. Messa in provincia di Verona - Sodalitium"
    http://www.sodalitium.biz/s-messa-provincia-verona/

    “Sodalitium - IMBC.”
    https://www.youtube.com/user/sodalitium

    “Omelie dell'I.M.B.C. a Ferrara.”
    https://www.facebook.com/OmelieIMBCFerrara/

    http://www.oratoriosantambrogiombc.it/
    “Oratorio Sant'Ambrogio, Milano - Offertur Oblatio Munda (Malachia 1, 11).”




    «Don Floriano Abrahamowicz - Domus Marcel Lefebvre.
    http://www.domusmarcellefebvre.it/
    Domenica in Albis (Santa Messa)
    https://www.youtube.com/watch?v=UG870mk5GHo
    Domenica in Albis (Omelia)
    Lunedì Pasqua - dell' Angelo (Santa Messa)
    https://www.youtube.com/watch?v=wPkpeDbQdo8
    Santa Pasqua (Santa Messa)
    https://www.youtube.com/watch?v=G-lviMz3pWY
    Santa Pasqua 2019 - (Omelia)
    https://www.youtube.com/watch?v=lwCe33a3TUo
    Sabato Santo (Veglia Pasquale)
    https://www.youtube.com/watch?v=jphVO0FHUMw
    Venerdì Santo
    https://www.youtube.com/watch?v=6v8gLX5hNW0
    Giovedi Santo
    https://www.youtube.com/watch?v=80W3peGsC9I
    https://www.youtube.com/user/florianoabrahamowicz
    SANTA MESSA - domusmarcellefebvre110815
    http://www.domusmarcellefebvre.it/santa-messa-1.php
    La Santa Messa tutte le domeniche alle ore 10.30 a Paese, Treviso.».







    https://www.sursumcorda.cloud/
    https://www.facebook.com/CdpSursumCorda/
    https://www.sursumcorda.cloud/settim...sum-corda.html
    «Carlo Di Pietro - Sursum Corda.
    Preghiera al Santo del giorno.
    3 maggio. Sant'Alessandro Papa e Martire pregate per noi e per la Santa Romana Chiesa.»
    https://www.sursumcorda.cloud/sostie...no-detail.html


    https://www.sursumcorda.cloud/sostienici/libri.html
    https://www.sursumcorda.cloud/massim...a-eretico.html
    “Per affrontare, con dati oggettivi e senza compromessi, il problema del Vaticano Secondo e dei modernisti che occupano la maggior parte delle nostre chiese --> La questione del cosiddetto "papa eretico" ed il problema dell'autorità nella Chiesa -->
    Appunti sulla questione del cosiddetto «papa eretico»”

    "La vera umiltà---> https://youtu.be/n9mF_GM9unc "

    “Padre Gabriele Maria Roschini, Chi è Maria? Catechismo mariano, Sursum Corda, Potenza 2017.
    Catechismo mariano composto da 235 articoli, semplici ma eruditi. Un’esposizione chiara, ordinata e sintetica di tutto ciò che riguarda la storia, il dogma ed il culto mariano, secondo la forma classica di domande e risposte.”
    https://www.sursumcorda.cloud/images...ini-fronte.jpg
    https://www.sursumcorda.cloud/images...hini-retro.jpg

    https://www.sursumcorda.cloud/artico...il-fedele.html

    «Preghiera di San Pio X per i Sacerdoti.»
    https://www.sursumcorda.cloud/preghiere/





    https://www.facebook.com/pietroferrari1973/
    "La Chiesa celebre oggi l'invenzione della Santa Croce. L'imperatore Costantino aveva visto una croce nel cielo sulla quale era scritto queste parole: Per questo segno vincerai; sconfisse difatti, interamente il tiranno Massenzio. Santa Elena, sua madre, in riconoscenza di questo favore, fece fare a Gerusalemme delle ricerche per trovare la vera croce. Ci si trovarono tre croci, ma un miracolo fece conoscere con certezza quella che aveva portato il prezzo del nostro riscatto. Questa Santa gli fece costruire un tempio magnifico. La croce fu ritrovata nell’anno 326. Da allora, la croce, di strumento di supplizio e di vergogna, diventò un segno di vittoria e di gloria."


    “Pietro Ferrari ha condiviso il post di Christus vincit.”
    https://www.facebook.com/catholictradition2016/
    “INDULGENZE PER IL MESE DI MAGGIO
    Con rescritto della S. C. delle Indulgenze 18 giugno 1822 a tutti i fedeli che in pubblico od in privato onoreranno con particolari ossequi, orazioni ed atti divoti la SS. Vergine in tutto il mese di Maggio, Pio VII concesse 300 giorni d'Indulgenza, ogni giorno, e la Plenaria una volta in detto mese, nel giorno in cui, ricevuti i SS. Sacramenti, pregheranno secondo la mente del Sommo Pontefice. Tale Indulgenza per concessione di Pio IX, 8 agosto 1859, può lucrarsi anche nel 1° di giugno.”







    https://www.facebook.com/catholictradition2016/
    «MARTIROLOGIO ROMANO, 1955. Sancti et Sanctae Dei, orate pro nobis.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...7f&oe=5D68B707





    Tradidi quod et accepi
    Tradidi quod et accepi: Invéntio sacrosánctæ Crucis Domínicæ
    «L'INVENZIONE DELLA SANTA CROCE DI NOSTRO SIGNORE GESÙ CRISTO.
    Invéntio sacrosánctæ Crucis Domínicæ.
    Il 3 maggio la Chiesa Romana ricorda il Ritrovamento della Santa Croce del Signore
    al tempo dell'Imperatore Costantino (14 settembre 320). In realtà in origine questa ricorrenza celebrava il recupero della Vera Croce caduta in mano ai Persiani da parte dell'imperatore Eraclio nel 692, ma i Latini invertirono la memoria di questi due avvenimenti. Il ritrovamento della Croce da parte di sant'Elena era l'originario accadimento alla base della festa del 14 settembre - Exaltatio sanctae Crucis - quando il legno su cui fu confitto il Redentore fu da san Macario, allora vescovo di Gerusalemme, fu mostrato al popolo cristiano, ostensione che si ripeteva annualmente. Il Breviario Romano ci ricorda il modo in cui fu riconosciuta, fra le tre ritrovate sul Calvario, la vera Croce: "Macario, vescovo di Gerusalemme, dopo aver innalzato preghiere a Dio, accostò successivamente le tre croci ad una donna gravemente inferma; mentre due non le arrecarono alcun soccorso, avvicinata la terza Croce fu subito guarita".» [/B]
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    “«La festa della santa Croce tra gli splendori del tempo pasquale ha un profondo significato liturgico. Il Signore chiama la sua crocifissione il giorno del suo trionfo e dell’esaltazione sua; è tale è infatti. Egli sulla Croce vince la morte, il peccato e il demonio, e su quel legno trionfale erge il nuovo trono di grazia di misericordia di salvezza.
    È questo il melodioso canto seguente che deriva dal salmo 95. “Alleluia, alleluia. Annunziate fra le nazioni che il Signore ha inaugurato il suo regno dalla Croce”. Questa lezione salmodica più non corrisponde all’attuale testo ebraico; essa però ci è tramandata da antichi Padri, i qual,i come Giustino, accusano gli Ebrei di averla mutilata. [...] Iddio si è compiaciuto di accordare tanta virtù alla Croce, che al solo suo segno i sacerdoti benedicono i fedeli, i demoni fuggon e i devoti impetrano copiose grazie. Gli antichi ne erano così devoti, che al dir di primi Padri, non incominciavano mai azione alcuna senza aver premesso il segno di Croce. Lo stesso Giuliano l’Apostata, durante un sacrificio pagano si dice che più volte abbia volto in fuga il demonio, perché istintivamente, al suo primo apparire s’era premunito col segno della salute». (Cardinale Alfredo Ildefonso Schuster, Liber Sacramentorum, Torino, Marietti, 1930, vol. VII, pp. 151-153.)”



    «PRIMO VENERDÌ DEL MESE: PROMESSE E MESSA VOTIVA DEL SACRO CUORE DI NOSTRO SIGNORE GESÙ CRISTO»
    https://tradidiaccepi.blogspot.com/2...messa.html?m=1
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    https://2.bp.blogspot.com/-xogrTrby6...6_M5_width.jpg









    “TRATTATO DELLA VERA DEVOZIONE ALLA SANTA VERGINE di San Luigi Maria Grignion de Monfort
    CAPITOLO I NECESSITÀ DELLA DEVOZIONE A MARIA...”
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    Radio Spada | Radio Spada ? Tagliente ma puntuale
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    «3 MAGGIO 2019: INVENZIONE DELLA SANTA CROCE.»
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    https://www.radiospada.org/2019/03/c...odi-di-cristo/
    «“Clavus Romanii Imperii”. Costantino, sant’Elena e i Chiodi di Cristo di Redazione RS
    La devozione del Messale Romano nella sua Appendice riporta per il Venerdì dopo la Prima Domenica di Quaresima la festa dei Sacri Chiodi e della Sacra Lancia che trafissero il Corpo del Redentore Crocefisso. A proposito della reliquia dei Chiodi proponiamo al Lettore una riflessione che a proposito di essi fa sant’Ambrogio nel contesto della cristianizzazione dell’Impero Romano operata da Costantino, la cui santa madre Elena dei medesimi Chiodi, come anche delle altre reliquie della Passione, fu scopritrice.
    Chiodo conservato nella Basilica di Santa Croce di Gerusalemme assieme al Legno della Vera Croce, al Titulus Crucis e a due Spine della Corona
    https://i1.wp.com/www.radiospada.org...ng?w=800&ssl=1
    Chiodo conservato nel Duomo di Milano.
    https://i2.wp.com/www.radiospada.org...pg?w=446&ssl=1 »









    https://www.radiospada.org/2018/11/i...andrea-a-roma/
    « L’Apostolo Andrea, il primo chiamato, fratello di san Pietro, dopo la Pentecoste secondo la tradizione recepita anche dal Breviario Romano “andò a predicare la fede di Cristo nella provincia toccatagli, la Scizia d’Europa, poi percorse l’Epiro e la Tracia; e colla predicazione e i miracoli convertì a Cristo innumerevoli persone”. Compì il martirio a Patrasso in Acaia, condannato alla crocefissione dal Proconsole Egea. San Girolamo nel De viris illustribus al libro IX, ci informa che al tempo di Costanzo II le sue reliquie (il cui possesso è attualmente vantato da Amalfi) furono traslate a Costantinopoli. Dopo la caduta di Costantinopoli il 29 maggio 1453, dal 1462 al 1964 fu invece conservata in San Pietro il suo Venerabile Cranio. L’arrivo in Italia di questa reliquia è raccontato con dovizia di particolari da Egidio Fortini nel suo Solenne ricevimento della testa di sant’Andrea Apostolo e cappella presso al Ponte Milvio a lui consacrata (Roma, 1848) i cui punti salienti offriamo ai nostri lettori.
    L’arrivo ad Ancona del Capo di Sant’Andrea il 16 novembre 1461 (Basilica di Sant’Andrea della Valle, Roma)
    https://www.radiospada.org/wp-conten...immagine-3.bmp
    Rilievo centrale della Tomba di Pio II con la rappresentazione della consegna della reliquia della testa di S. Andrea al Papa. (Fonte: Scuola Ecclesia Mater)
    Questa preziosa reliquia, venerata l’ultima volta nella Basilica Vaticana il 23 settembre 1964 (foto 1 e 2), fu restituita al “Metropolita” scismatico Costantino di Patrasso il 26 successivo dal Cardinale Agostino Bea sj, delegato di Paolo VI e Presidente del Pontificio consiglio per la promozione dell’unità dei cristiani (foto 3). Un esempio di quanto l’ecumenismo teorico e pratico sia contrario al Vangelo che insegna a non dare le cose sante ai cani e le perle ai porci (cfr. Matth. VII, 6).
    Venerazione della reliquia del Capo di Sant’Andrea nella Basilica Vaticana il 23 settembre 1964.
    Il Cardinale Paolo Marella, Arciprete di San Pietro, celebra la messa sull’altare del Concilio davanti al Capo di Sant’Andrea, il 23 settembre 1964 alla presenza di Paolo VI.
    Il 26 settembre del 1964 il Cardinale Agostino Bea SJ, Presidente del Pontificio consiglio per la promozione dell’unità dei cristiani, consegna la sacra reliquia nelle mani del Metropolita Costantino di Patrasso. [Testo e immagini a cura di Giuliano Zoroddu].»

    «3 maggio 2019: SS. Alessandro I, papa, Evezio e Teodulo, martiri, e Giovenale, vescovo.
    Pochissime ed incerte sono le notizie su Giovenale, mentre sicure sono quelle che riguardano il suo culto.
    Il cod. Bernense del Martirologio Geronimiano lo ricorda il 3 maggio unito ai tre martiri della via Nomentana, Evenzio, Alessandro e Teodulo. S. Gregorio Magno nei Dialogi (IV, 12) e nelle Homiliae in Evangelium ricorda un vescovo di Narni, di nome Giovenale, qualificandolo martire. Ma il Lanzoni osserva che questo pontefice dà il titolo di martire anche a vescovi che non morirono per la fede. Lo stesso Gregorio ricorda il sepolcro di Giovenale esistente sempre a Narni. I Martirologi di Floro e di Adone lo menzionano con questa indicazione: "Natale sancti Juvenalis episcopi et confessoris". Nel Sacramentario Gelasiano al 3 maggio vi è una preghiera in onore del santo.
    Di Giovenale esiste inoltre una Vita scritta dopo il sec. VII di scarso valore storico, secondo cui, egli era di origine africana e, ordinato da papa Damaso, fu primo vescovo di Narni. Sempre secondo questa Vita, fu sepolto alla Porta Superiore della città sulla via Flaminia, il 7 agosto, pur celebrandosene come si è dettó la festa al 3 maggio. L'agiografo non gli dà il titolo di martire, ma quello di confessore.
    Il sepolcro di Giovenale, su cui fu costruito un oratorio attribuito al suo successore Massimo, fu molto onorato nell'antichità e si conserva tuttora nella cattedrale di Narni. L'iscrizione non è antica, forse è contemporanea alla Vita.
    L'autore della Vita di papa Vigilio (537-555) nel Liber Pontificalis ci dà notizia di un monastero che Belisario fondò presso Orte dedicandolo a Giovenale.
    Nel secolo IX, il corpo di Giovenale fu trafugato insieme con quello dei santi Cassio e Fausta e trasportato a Lucca, ma in seguito fu restituito a Narni.
    Fossano, diocesi appartenente alla provincia d. Cuneo, venera s. Giovenale come suo protettore, pretendendo di conservarne le reliquie che, peraltro, potrebbero essere quelle di un altro santo dello stesso nome. Autore: Filippo Caraffa.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...11&oe=5D318694





    «Il 3 Maggio 1512, in contrapposizione allo scismatico conciliabolo di Pisa orchestrato da Luigi XII, nemico della libertà della Chiesa, assieme Papa Giulio II apriva il Concilio Ecumenico Lateranense V. Egidio da Viterbo, generale degli Agostiniani, nella prolusione affermava: "Homines per sacra immutari fas est, non sacra per homines".
    L'affresco di Raffaello raffigurante la Cacciata di Eliodoro dal Tempio (in foto) allude alla guerra di Giulio II contro Luigi XII sul campo di battaglia e nell'assise conciliare.»
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...af&oe=5D2CC86A


    «[GLORIE DEL CARDINALATO] Raffaele Sansoni Riario della Rovere (Savona, 3 maggio 1461 - Napoli, 9 luglio 1521). Cardinale Diacono di San Giorgio in Velabro nel 1477. Camerlengo di Santa Romana Chiesa dal 24 gennaio 1483 alla morte. Fondamentale il suo intervento nella rinascenza delle arti, dal teatro alla scultura. Assistette alla messa in atto della Congiura dei Pazzi e, come Decano del Sacro Collegio, cantò la messa di apertura del Lateranense V (3 maggio 1512). Raffaello lo effigiò accanto a Giulio II, suo parente, ne "La Messa di Bolsena".»







    www.agerecontra.it | Sito del Circolo Cattolico "Christus Rex"
    http://www.agerecontra.it/

    "Centro Studi Giuseppe Federici - sito ufficiale"
    http://www.centrostudifederici.org/

    "sito dedicato alla crisi dottrinale nella Chiesa cattolica"
    http://www.crisinellachiesa.it/

    "Sito ufficiale del Centro Culturale San Giorgio"
    http://www.centrosangiorgio.com/


    http://www.cmri.org/ital-index.html





    https://www.truerestoration.org/


    https://novusordowatch.org/


    ": Quidlibet : ? A Traditionalist Miscellany — By the Rev. Anthony Cekada"
    http://www.fathercekada.com/

    "Home | Traditional Latin Mass Resources"
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    "Como ovejas sin Pastor"
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    “Pro Fide Catholica | Le site de Laurent Glauzy”
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    «Intransigeants sur la doctrine ; charitables dans l'évangélisation [Non Una Cum].»
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    Messes :: Ligue Saint Amédée
    http://liguesaintamedee.ch/messes

    «Mois de mai : mois de Marie.
    Nous conseillons cette page qui explique bien comment prier le Rosaire.
    https://scontent-mxp1-1.xx.fbcdn.net...60&oe=5D733A16
    http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/rosaire.php»


    3 mai : Invention de la Sainte Croix (en 326) :: Ligue Saint Amédée
    “3 mai : Invention de la Sainte Croix (en 326).”
    http://liguesaintamedee.ch/applicati...inte_croix.jpg







    AVE MARIA!!! REGINA COELI, LAETARE, ALLELUIA!!!
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    Luca, SURSUM CORDA – HABEMUS AD DOMINUM!!!
    ADDIO GIUSEPPE, amico mio, sono LUCA e nel mio CUORE sarai sempre PRESENTE!
    «Réquiem aetérnam dona ei, Dómine, et lux perpétua lúceat ei. Requiéscat in pace. Amen.»

    SURSUM CORDA - HABEMUS AD DOMINUM!!! A.M.D.G.!!!

 

 

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